Note : Ce site est une archive et n'est désormais plus ni maintenu ni enrichi. Cette page d'accueil affiche des billets pris au hasard parmi ceux rédigés pendant mes 3 années japonaises.

Si vous souhaitiez parcourir le site dans l'ordre (anté)chronologique d'origine, votre bonheur se trouve dans les Archives.

Obon : la fête des morts

Obon, c’est la fête des morts au Japon, ça a lieu en été autour du 15 juillet ou du 15 août en fonction des régions (une histoire de calendrier solaire et lunaire faisant la différence de date). Cette periode est une des trois périodes de vacances généralisées au Japon (avec le jour de l’an et le golden-week en mai).

Et un peu partout fleurissent les festivités nocturnes présentant quelques éléments communs : les yukata (kimono d’été), le taiko (tambour), les danses (odori ou bonodori), le feu (présent sous diverses formes) et les yatai (stands des forains).

Cette année, j’ai pu assister à diverses fêtes dans différents lieux.

Le quartier où j’habite a fait sa fête dans le petit parc de Higashikôen34.606720135.469708 bien avant les autres, si on veut réunir des gens dans ce quartier, il faut le faire avant la date officielle, car à la date officielle, tout le monde est parti ailleurs. Ce qui est assez amusant, c’est que lors de mon premier voyage japonais, le soir de mon arrivée j’ai assisté à la même fête (avec le même joueur de taiko d’ailleurs, les photos en attestent !).


La seconde fête était un peu plus originale, ici des milliers de bougies illuminaient les parterres du temple de shitennoji. Chaude ambiance. Ici c’était déjà plus religieux, les moines du temples formaient de longues processions suivis par les familles souhaitant honorer la mémoire de leurs ancètres.

Autre fête mais cette fois ci sans photo (je n’ai pas osé en prendre), dans un temple à côté de Tennoji34.646625135.513095. Le temple est dans un immeuble totalement banalisé. Pour le voir, il faut le connaitre – ou peut-être lire le japonais. On monte dans les étages, enlève ses chaussures qu’on range dans un petit casier, et on suit les obasan. On se fait servir le thé assis par terre en attendant son tour. Quand son tour approche, on se rend trois pièces plus loin, dans une pièce large, un sanctuaire est reproduit, ici tout est de bois et de tissus riches, le béton se fait totalement oublier. Des moines jouent des percussions et scandent des incantations. Les familles ayant payé pour quelques plaquettes de bois à la mémoire de leurs ancètres, se font appeller les unes après les autres, se recueillent devant l’autel en famille, pour quitter ensuite les lieux.

Puis, quelques jours après, également dans mon quartier, mais un parc plus loin (Suminoekôen), nouveau bonodori. C’était bien plus organisée que la première fois, avec beaucoup plus de danseurs, et beaucoup moins de yatais. Dommage, moi, les Yatai j’adore ça. Plus sérieux aussi, on n’a pas entendu ici les chansons de Doraemon ni d’Anpaman, sur lesquelles il est tout à fait possible de danser pour les morts.

Et un peu plus loin, à Nara34.683793135.835669, nous sommes allés voir les festivités de Mantorô (bougies innombrables). Le principe est un peu différent car le lieu est bien plus ouvert. A cette occasion, on se déplace dans un parcours jalonné de bougies dans des lampions, avec par endroits de véritables champs de bougies. Cette année, avec la poussette dans le gravier, on n’est pas allé très loin, mais nous avons pu manger dans un petit restaurant de soba, excellent et très bon marché, et à la déco assez… kitch (le téléphone – modèle assez courant au japon – y est pour beaucoup !).

Et puis, il y a les « after ».

Après Obon, quelques soubresauts de fêtes agitent les parcs. Je suis ainsi allé samedi dernier à un « Live » suivi d’un « cinéma en plein air » annoncé par des affiches, toujours à Higashikôen34.606720135.469708. En fait de live (c’était écrit ainsi sur les affiches), une fille du quartier était venue avec sa guitare et 3 copines pour les choeurs. Le cinéma, c’était un drap et un vidéo-projecteur sorti probablement d’une salle de réunion d’une boite du coin. Devant, une vingtaine de personnes étaient assises par terre sur des bâches en plastique bleu, les plus prévoyants avaient emmené leur pliant. C’était très amateur, familial même, mais l’ambiance était très détendue et toute agréable.

Enigme fromagère

Petite énigme nippone… où trouve-t-on cette étiquette « Fromage – le choix » ?

Petit indice : fumez tout ce que vous avez sous la main, sans ça, vous n’avez aucune, mais aucune chance de trouver la bonne réponse…

J’attend vos – nombreuses j’espère – suggestions en commentaire…

Edit du 04/08 : Félicitations à Likwid, cette étiquette « Fromage le choix » se trouve bel et bien sur un vélo. Apparemment, ce vélo n’est pas un cas isolé car on en a vu depuis d’autres de cette marque. Nous avons finalement cédé à la tentation et acheté deux mamachari (biclou de mémé) d’occasion pour un prix tout raisonnable (un peu plus de 6000 yen par vélo, tout équipement compris : panier, béquille, antivol, tout, sauf le siège bébé).

Et ce pour palier à ma psychose. J’ai décidé de passer de l’autre coté de la barrière et de devenir à mon tour un de ces prédateur à vélo. Je peux désormais à loisir terroriser les piétons, rouler à toute berzingue sur le trottoir, sur la route, rouler à contre-sens, faire fi des panneaux de signalisation, passer au feu rouge, changer brusquement de direction, ne jamais prévenir de ces changements, ne faire attention à rien, passer des emails sur mon téléphone pendant que de l’autre main je tiens le guidon, tenir un parapluie ouvert en roulant (même en plein soleil), garer mon engin où je veux, transporter des objets volumineux, porter des sacs de course à la main, actionner ma sonnette, faire crisser les freins, râler contre les piétons (ou les autres vélos), je suis le roi, je suis à vélo. Et depuis, ça va beaucoup mieux.

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Retour sur…

Je viens de recevoir aujourd’hui à la poste un cadeau que j’attendais de pied ferme : le photobook tiré de mes vacances de mai dernier. Il est beau, il est gros, il sent bon le senbei chaud, et il s’offre à vous sur ma p’tite boutique !

Avec ce deuxième photobook, ce sont plus de 220 pages papier glacé pleines des photos (près de 400 au total) que je vous avais montré ici même depuis fin mai dernier, les photos illustrent les propos, là aussi tirés du blog.

Et je le trouve superbe – content Ghismo.

Pour une livraison avant Noël, c’est chaud chaud, mais blurb affirme que jusqu’au 9, ce n’est pas tout à fait impossible. Si vous voulez en faire un cadeau, n’attendez pas une seconde pour en passer commande, mais ne misez pas tout dessus, achetez une petite babiole pour pouvoir dire le jour « N » que le gros cadeau arrive un peu plus tard et de loin.

Et tant que j’en suis à mettre en ligne de nouvelles créations, j’ai également édité une version papier de mon blog, dans un plus petit format, avec plus de place au texte (mais les photos sont également présentes), et pour commencer, j’ai réuni dans un volume les trois mois qui suivent mon arrivée ici… C’est plus un projet perso, mais j’ai ouïe dire que certains parmi vous imprimaient mon blog, voici un moyen sympa d’en garder une trace papier (relié et glacé pour le coup)…

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Le bruit du frigo

… se fait entendre dans ma cuisine. Il nous a ete livre hier avec la machine a laver.

Edit du 21/07 : Belle machine à laver verte qui en plus de laver, crée des ions d’argents pour, euh, pour…

Du coup on a pu ce midi acheter des glaces aux filles a la Chateraisé, et ca c’est bien cool.

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Grand Bouddha et collégiens

Au risque d’en blaser certains, dans les vacances très chouettes, je demande l’après midi du 5ème jour (sur 15, c’est assurément la saga de l’été).

En fait ce n’était pas une surprise, dès l’arrivée en gare le matin, on savait qu’on croiserait des collégiens par milliers, aujourd’hui comme hier à Kyoto34.986796135.758678 était jour de sortie scolaire à Nara34.683793135.835669. Aujourd’hui aussi, les collégiens sont partout, bruyants. Et c’est à l’approche des temples qu’on commence à les retrouver. Tant pis pour les promenades apaisées, prêtant lieu à des pensées contemplatives… Rock’n’roll !

On se dirige donc vers le temple qui abrite le grand Bouddha de Nara34.683793135.835669, et en route, quelques téméraires, ayant acheté les petits gâteaux pour les biches (des senbei) les affrontent déjà, regrettent leur geste, essayent sans succès de se libérer des monstres agglutinés… Tu vois, ça, faut pas !

Un peu plus loin, un groupe de touristes a trouvé le truc ultime pour rencontrer des petites japonaises, après les avoir abordées probablement par quelques konnichiwa hésitants, ils sortent de leurs sacs des cartes postales de leur ville d’origine, qu’ils distribuent à tout va… succès immédiat, un « éééééééééééééééééééééééééééé » éclate, enfle, se fait entendre des choristes éberluées. Sur les cartes des Praha s’étendent en typo gothiques ocres.

Devant les colosses de bois qui surveillent l’entrée du temple, un collégien me glisse en anglais « My father… ».

Un peu plus loin, un garçon se fait déposer un senbei entre les jambes par un copain, ruée immédiate des biches, rire général, le garçon, lui, a eu la frayeur de sa vie.

Et puis, on passe aux choses sérieuses.

Le grand Bouddha de Nara34.683793135.835669 est vraiment impressionnant, les statues qui paraissent petite derrière lui le sont déjà beaucoup, et c’est sans parler du bâtiment qui l’abrite des intempéries. L’entrée à Todaiji coûte 800 yens qu’on ne regrette pas. Pas toujours, on croise un couple de français, grincheux, ronchonneux. A la sortie, quelques commerces de souvenirs, achats de poupées kokeshi porte clés, la vendeuse parle un peu français. Merci.

En se rendant au temple de Nigatsudo où se déroulent les fête d’omizutori, un groupe de 3 collégiens, nous abordent, accompagnés d’une enseignante, avec un questionnaire écrit sur un petit cahier, lecture timide de la première question « May I ask you some questions », réponse « Mais je ne parle pas anglais, je suis français ». Il faut bien que quelques uns soient au courant que tout ce qui est gaijin n’est pas américain. Et ça me fait penser, que je dois me le faire ce t-shirt « I’m not american » ! 🙂

Le temple de Nigatsudo offre une vue magnifique sur la ville, c’est un peu et en plus modeste le Kiyomizudera34.994742135.785039 de Nara34.683793135.835669.

Et puis, il faut bien rentrer, 540 yens, manger une glace chez Haagen Dasz à Namba34.663463135.501959, parce que c’est bon, 880 yens, et clore la boucle, 270 yens. Bilan : 3800 yens

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Chaud Pontocho

J’ai passé la soirée d’hier à Kyoto34.986796135.758678 en compagnie de Thomas. Thomas qui connaît sa ville mieux que quiconque et sait toujours trouver le lieu que vous aviez toujours cherché. Hier, c’était en montant 3 étages dans des escaliers peu engageants, en poussant une porte qui l’est à peine plus pour pénétrer dans un bar très rock’n’roll, tenu par un japonais fou des Rolling Stones, fou tout court, qui vous accueille en Français, change la musique pour vous et passe quelques titres de Renaud, et qui, parce qu’il a entendu dire que, vous apporte même un peu plus tard un papier et un marqueur pour que vous puissiez fabriquer une affichette « Bassiste cherche groupe » à coller dans les toilettes ; toilettes dont on m’a dit qu’elles valaient le détour*. Si ce n’était pas si loin de la maison, j’y retournerais tous les soirs !

* Et je pense avoir battu mon propre record de la phrase la plus longue de ce blog avec celle là.

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On va tous à Kyoto !

Mon lundi de Pâques n’est pas encore achevé d’imprimer que commence la golden-week au Japon, semaine où les jours fériés se suivent et offrent aux Japonais la chance de pouvoir partir en vacances tous en même temps tous aux mêmes endroits à prix d’or. Bon, en ce qui me concerne, je suis sur le calendrier français, je travaille donc (hors 1er mai bien sûr), mais mon épouse a quelques envies de voyages… ce dimanche, c’était direction Kyoto34.986796135.758678, Arashiyama35.013021135.680122 ; avec des trains rutilants Hankyu pour le petit.

Nous sommes descendus une station avant celle d’Arashiyama. Mon épouse voulait visiter le temple de suzumushi, et moi je voulais prendre des photos de la forêt de bambou d’Arashiyama. Sur la carte, la distance entre les deux semblait raisonnable, on a décidé de rejoindre les deux à pieds. Sorti de la gare, on a filé au combini du coin pour acheter des onigiri, sandwich et boissons en tout genre qu’on a mangé au bord de la rivière Katsura, dans une odeur pas désagréable de barbecues, c’est qu’il y avait du monde à avoir eu la même idée que nous !

Après avoir laissé derrière nous deux compères disgracieux – un ushimushi volant et une monstruosité sans nom, sans tête non plus, offerte en cadeau avec mon café – on a pris la direction du sud, croisant sur la route la maison d’un garde barrière longée d’un petit ruisseau offrant une perspective sympa. Sympa si on ne s’y arrête pas.

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Cap sur Kobe

Nouvel épisode des vacances super-extra

Le troisième jour, qui tombait un lundi, on avait décidé d’aller à Kyoto34.986796135.758678. Et puis ayant eu vent que le mardi se tenait là bas une de plus importante fête de l’année, on a finalement décidé d’intervertir le programme de lundi avec celui de mardi.

Cap sur Kobe34.691380135.195693.

Arrivé à Umeda34.7025135.49793 (270 yens), on a passé un moment dans les 7 étages du Yodobashi camera, regardé des choses pour moi, d’autres pour l’exploratrice, faire quelques conversions rapides Yen-Euro et décider d’y reflechir à tête reposée. Manger d’un sandwich au café Excelsior, accompagné d’un café (850 yens) et prendre la direction de la gare Hankyu. Croiser ici des bénévoles de la croix rouge, ralentir le pas pour attraper au vol les kits pour faire des bulles de savon donnés aux passants, et répondre qu’on vient de France à la dame curieuse venue à notre rencontre. 310 yens de train plus tard (ce qui est incroyablement bon marché ; l’avant veille, un trajet dans Osaka avait coûté le même prix), on est à Kobe34.691380135.195693.

Là bas, on a suivi une petite partie de l’itinéraire que m’avait concocté Piccator lorsqu’on s’était rencontré l’hiver dernier (d’où le peu de nouvelles photos cette fois çi). Errances autour de l’incroyable gare de Sannomiya, un quartier encastré dans les piles des rails suspendus, abritant tour à tour boutiques innomables autant qu’innombrables, huileuses, crasseuses et juste à côté, allées clinquantes pour victimes de la mode, un quartier toutes veines dehors*, contrasté, hyperactif.

Et puis, emprunter les shôtengai qui partent de la gare, ressortir non loin du quartier chinois, commencer à sentir la faim qui nous tiraille, mais poursuivre vers le port, son quai laissé tel que le séisme de 95 l’a laissé, ses protoypes de bateaux devenus HLM pour pigeons gras, sa tour de Kobe34.691380135.195693, ses hôtels posés là, et ses autoroutes suspendus pour horizon. Je voulais ensuite aller au mont Rokko, que j’avais raté la dernière fois, on presse le pas, et on attrape un bus pour touristes qui nous reconduit à Sannomiya (250 yens le trajet avec les commentaires gantés de blanc).

* (je parles ici des innombrables canalisations qui courent sur les murs)

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Vendredi shopping sous la pluie

Pour rappeler un peu le temps de ce début de week-end, typhon annoncé qui s’est finalement désisté (sur Osaka du moins), voici une petite journée pluvieuse de mes dernières vacances bien comme tout. Ce septième jour tombant un vendredi, c’était journée « No my car day« , grande promo hebdomadaire sur les tickets de métro à la journée : 600 yens.

Aujourd’hui on est bien décidé à acheter le petit et très cool lecteur iriver (en vente sur ma petite boutique depuis), et on fait les boutiques, ce qui tombe bien, le ciel n’est pas des plus cléments : Yodobashi Camera de Umeda34.7025135.49793, Bic Camera de Namba34.663463135.501959, petites boutiques de l’Akihabara d’Osaka (le quartier électronique) : Denden-town. Et puis, à Denden-town (qui se traduit par Elecelec-ville) on tombe aussi des boutiques de figurines manga et de vidéos « fouyaya » à la japonaise. Au moins pour les figurines manga, ça fait de chouettes cadeaux à rapporter aux petits. A proximité on trouve aussi un quartier de cabarets, bars à hôtesses, love-hotels, pachinko à la déco surchargée, bien sûr, à cette heure là tout est fermé, pratiquement, on croise le regard d’un couple qui sort du paradise-hotel, main dans la main, l’air de rien ou presque.

Le midi, c’est râmen au comptoir (nouilles chinoises). Benitora (?), excellent restaurant, le meilleur à ma connaissance dans sa catégorie, environ 800 yens.

Le soir, c’était izakaya-sushi à Umeda34.7025135.49793, pas mal, probablement dans les 2000 yens.

3400 yens la journée pluvieuse et quelques billets de dix mille en cadeaux. A partir du lendemain, ça devient beaucoup plus wizzZZzzZZZzzzzz !

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Le voisin d’à côté

Le voisin d’à côté ne cesse de nous intriguer.

D’abord il n’est pas souvent là.

Les autres voisins de paliers, on les croise régulièrement sur la coursive extérieure qui dessert l’étage. Lui, non.

Quand il est là, il se fait livrer des nouilles chinoises, des sushis ou des pizzas dont les plats non lavés restent devant sa porte pendant des semaines.

Et puis, il habite seul et les appartements ici, ce sont des 3 pièces, salon, cuisine, salle de bain, gérés par l’office HLM d’Osaka et on n’obtient pas les clés sans répondre aux conditions. Comment a-t-il fait, lui pour avoir sa garçonnière de 65m² à loyer modéré. Hum ?

Mais ce n’est pas tout.

Parfois on le trouve en très belle compagnie. Avec des filles dont on se demande vraiment si ce pourraient être ses filles. Toujours un peu trop préparées pour être venues rendre visite à leur papa chéri. Mais en même temps, un peu trop pas dans les moyens d’un locataire en HLM (j’ai vérifié).

Alors, irrésistible séducteur ? Peut-être, il n’a pas l’air inintéressant comme garçon. Sauf que le quartier n’est pas de ceux où on fait ces rencontres, et pour motiver une fille à y descendre, faudrait avoir un sacré talent tout de même !

Ou alors il aurait un carnet d’adresse plein de ressources…

Dans ce cas il pourrait partager avec ses voisins, je suis même prêt à payer la pizza !

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