Note : Ce site est une archive et n'est désormais plus ni maintenu ni enrichi. Cette page d'accueil affiche des billets pris au hasard parmi ceux rédigés pendant mes 3 années japonaises.

Si vous souhaitiez parcourir le site dans l'ordre (anté)chronologique d'origine, votre bonheur se trouve dans les Archives.

Se mêler à la foule

Hier soir, c’est avec Yo-chan que nous nous sommes rendus au festival Tenjin-Matsuri, une des fêtes les plus importantes d’Osaka. Un feu d’artifice de 5000 fusées (c’était 1000 de plus que l’an passé), forcement, ça attire un peu de monde et une foule dense remonte d’un même pas la rivière Yodogawa, depuis Yodoyabashi34.693003135.500950 jusqu’à Temmabashi34.691168135.517451. Une large, très large proportion des filles vient ici en kimono d’été, beaucoup de garçons les accompagnent en tenue traditionnelle. Ca fait de belles photos, et de beaux souvenirs.

Cette année, on a vu de la lumière un peu plus au nord, et on s’est un peu écarté de ce parcours jalonné de Yatai, d’où aucune fuite n’est possible. On y a retrouvé encore du monde, et surtout le temple de Tenmangu d’Osaka, par hasard, je crois même que mon épouse ne l’avait jamais visité.

Comme l’an passé, on n’a vu des feux d’artifices que des flashs dans le ciel et quelques fusées partielles et lointaines. Par contre, on est également tombé sur une procession plutôt impressionnante, où deux groupes de percussionnistes se faisant face sur le même taiko se hurlent alternativement les uns sur les autres.

On croise une famille avec des petites filles très mignonnes qui connaissent les gestes de la danse du dragon. On se voit offrir quelques Castella en cadeaux, ceux là ont la forme du Mikoshi de la fête. Yo-chan est bavarde, le courant passe bien !

On s’est également arrêté devant une attraction de fête foraine : une sorte de petit musée des horreurs, le chemin dans les couloirs sombres de l’attraction a l’air de se faire à pied, les gamins qui passent devant les têtes monstrueuses de la devanture hurlent, pleurent, tapent des pieds, les parents s’en amusent. Et puis, j’ai commencé à essayer de photographier les gens qui sortaient de là en courant et en criant, cette idée a fait des émules, et très vite, on se massait autour de la porte de sortie avec keitai et appareils photos !

Et puis, plutôt que de prendre le métro archi-bondé dès la sortie du matsuri, c’est tellement plus sympa de redescendre à pied jusqu’à Namba34.663463135.501959. Ca fait un petit bout, pendant quelques instants j’ai douté sur la direction, je devrais me faire plus confiance, j’ai Osaka dans la peau ! 🙂

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Histoires de cul

Depuis que je conduis le petit à la crèche, je peux voir sur ce parking ces deux fauteuils usés qui se tapent la discute.

Rien de très énergique, pas d’effusions verbales, ces deux amis savent rester discret, Tellement discret que personne ne semble plus y préter attention. Depuis un bon mois, il n’ont pas bougé d’un pouce, même place, même position… En m’approchant un peu j’ai pu voler quelques morceaux de leurs chuchotements. Et bien entendu que peuvent se raconter deux fauteuils de bureau d’autre que des histoires de fesses ?…

« – (…) et le bureau du troisième ?
– le 317 ? m’en parle pas ! quelle chaleur ! à crever ! mais encore c’était rien en comparaison de Satô san du 424, lui mangeait des gyôza au petit déjeuner !
– Wow, dur. T’as pas eu une vie facile toi !
– Ah ça non ! Regarde comment ils m’ont passés au scotch ! Et dire que toi tu t’es tapé toutes les minettes du service…
– Oh que oui ! En parlant de scotch, je t’ai parlé de la fille du 114 ? Ah ça ! quels moments heureux j’ai passé (…) »

Et voilà, encore une fois je ne cherche plus à comprendre ce qui aura amené ces fauteuils ici, pas plus que ce qu’ils y font encore !

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Bah voyons…

Ce genre de scène se voit relativement fréquemment ici. Sur la photo, il s’agit d’une petite fille, mais il arrive aussi fréquemment que la petite fille ait la vingtaine et porte des talons hauts, debout sur son porte bagage.

Pourtant ce n’est pas autorisé non plus. La semaine dernière, j’ai ainsi vu s’arrêter une voiture de police au niveau d’un passage piéton. Au début je n’y prétais pas trop attention, puis la voiture de police s’est mise à parler (il y a des haut-parleurs sur les voitures de police et les ambulances ici). La fille est descendue de son porte bagage, le garçon qui conduisait a eu un petit air de défiance, puis la voiture de police a redémarré. A peine avait-elle fait 100m que le couple s’est reformé, et a traversé la route au rouge, non sans prendre quelques risques d’ailleurs, sans doute plus pour fuir le regard des témoins de la scène que pour défier les forces de l’ordre. Quoi que…

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Nara, Nara desu

Et c’est reparti pour une journée des vacances très chouettes

Au cinquième jour, le programme de ces petites vacances nous menait à Nara34.683793135.835669. Au départ de la maison, cela représente une petite heure de train et 270 plus 540 yens. Nara34.683793135.835669 bien connu pour ses (millions de) biches, d’ailleurs, j’avais bien briefé mon hôte : « sous aucun prétexte tu n’achètes de petit gâteaux pour les biches ».

Avant d’aller les saluer de pas trop près, c’est par Nara34.683793135.835669machi, la vieille ville que nous sommes allés. Je voulais voir si le fusuma que le petit avait transpercé à la dernière visite avait été réparé. Pas encore. Par contre, le descriptif des lieux en français qu’on m’avait fait corriger la dernière fois et que j’avais même pas lu est désormais sous plastique. Et cette fois ci, on nous a fait la démo de la porte d’entrée, qui comme celle des petits cochons peut s’ouvrir par moitié.

Juste à côté, on a également trouvé un temple très mignon et quelques magasins d’un autre temps, vendant du soba en grains et des azuki secs dans des bacs venus de la même époque que les murs. Sur la porte d’à côté, un poisson vaudou en gilet de houx conjure le mauvais sort. Depuis longtemps sûrement. Et ce n’est qu’en sortant de la vieille ville, qu’on est tombé sur ce Pooh-san terminator, objet kitchissime et animé, dans un magasin qui l’était non moins. A en avoir des frissons (de rire).

Et puis, Nara34.683793135.835669 a cela de bien que lorsqu’on entre dans les parcs qui entourent les temples, on quitte la ville pour un long moment. Contrairement à Kyoto34.986796135.758678, où la ville reprend ses droits dès la sortie du temple, ici la promenade est plus apaisée. Normalement.

On mange dans une petite boutique de soba située au milieu d’un parc, et que je connaissais pour y avoir mangé lors du Mantoro de l’été passé (si vous vous souvenez, c’est le petit resto tout en bazar avec son téléphone rose). Une biche yakuza s’est invité en cuisine, rançonne la mama, la menace de ne pas partir tant qu’elle n’aura pas mangé, supporte sans même les sentir les coups de bambous que lui assène la maitresse des lieux. Elle ne bougera pas le temps de notre repas, et probablement encore longtemps après.

Ici on mange pour 500 yens assis sur les tables. C’est paisible.

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Rabu-Rabu Kurisumasu (deuxième partie)

Suite et fin de mon Noël parmi les rabu rabu kappuru

Je me suis aussi aventuré dans des quartiers ou le hea nudo n’est visiblement pas interdit… (Un peu derrière le Tsutenkaku de Tennoji34.646625135.513095 pour ceux que ça interesserait :). Avec des cinémas dont je n’ai pas bien compris si ils projetaient du porno ou du gore ou les deux.

Je ne me suis jamais senti en danger au Japon, même quand je me baladais dans des quartiers réputés chauds de Tokyo35.673718139.697556 et qu’en rentrant mes amis japonais me disaient « Quoi !! Tu es allé là ?? Tout seul ?! Abunai ! »… Parce que le Japon n’apparait pas comme étant un pays dangereux, et peut-être aussi parce qu’en tant que gaijin on ne perçoit pas le signes qui caractérisent l’agressivité ou annoncent le danger…

Aujourd’hui par contre un peu après être passé devant ce cinéma, j’ai quand même hésité avant de m’engager dans une rue ou un groupe d’individus en smocking noir, au gabarit imposant, se tenaient autour d’un personnage comme on imagine les mafieux dans les films, long imperméable de cuir noir, barbe blanche impécablement taillée, discutaient avec le plus grand des sérieux… Pas de cri, pas de voix qui s’élève, juste de la tension, palpable. J’ai tracé mon chemin… Et je suis visiblement en vie car j’ai réussi a m’authentifier sur blogger ce matin encore !

Et puis Noel c’est également la journée du Christmas Cake en promotion ! Il s’en vend a tous les coins de rue, et on ne lésine pas sur les moyens : chez Haagen Dasz, quatre des plus jolies vendeuses, faisaient l’article au micro, distribuaient prospectus, et brandissaient des pancartes en habit très sexy de mère noël ou en combinaison de Rudolph ! Rudolph qu’on a également retrouvé le soir, en chair et en os cette fois çi en allant manger à l’Asian Trade Center…

Un noël en grande partie solitaire donc, mais plutôt un très bon moment !

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Première bougie !

Il y a un an, exactement, avec ma petite famille, on est arrivé à Osaka. Un an déjà… Il y a un an, le petit ne parlait pas, j’avais des bases de japonais, on vivait chez mes beaux-parents, je connaissais des noms de gare à Osaka mais ne faisais aucun lien entre-elles, je ne connaissais pratiquement personne ici, et j’était tout ennervé de cette nouvelle étape qui commençait. Un an après, je suis toujours assez surpris de me retrouver où je suis, je connais bientôt plus de monde ici qu’à Nantes, hormis les souterrains d’Umeda (en surface, c’est acquis), il me devient difficile de me perdre dans le centre d’Osaka, la maison s’est de nouveau remplie de tout un tas de bidules pas toujours utiles qu’il faudra bazarder dans 2 ans, le petit est devenu très bavard, j’ai toujours des bases en japonais, mon blog a 365 posts, et j’ai sorti mon premier bouquin ;)…

Et comme c’est de coûtume, voici le petit jeu des « J’aime/J’aime pas » à un an…

J’aime J’aime pas
  • Mon D80 (et mon Fz5 aussi).
  • Avoir toujours une ou deux (centaine de) photos dans mes deux appareils.
  • L’euro à plus de 165 yen, chef faut m’envoyer des sous maintenant, plein !
  • L’aide spontanée reçue pendant les vacances, juste parce qu’on regardait un plan ou qu’on attendait à un arrêt de bus qui pouvait pas mener où un touriste va (bon, parfois, c’était lourd aussi :).
  • Les restos qui coûtent rien, ceux qui coûtent un peu plus cher, c’est bien aussi.
  • Avoir attrapé quelques reflexes linguistiques, je suis loin du compte, mais c’est un peu mieux.
  • Mes bureaux en ville (Nanko, Namba Parks).
  • Avoir fait le lien entre les quartiers du centre d’Osaka, comprendre l’ensemble et les distances, savoir maintenant désigner les quartiers depuis mon balcon…
  • Le climat sans pluie ou presque 10 mois de l’année.
  • Ne pas avoir de voiture.
  • Les cafés Haagen-Dasz.
  • Le regard en biais des oyaji
  • Les ojisan qui bourrent dans le métro sans demander pardon, en général le comportement des japonais dans le métro, ça à l’apparence de quelque chose d’organisé, en fait tout le monde se speed sans trop oser le montrer pour occuper les places assises, et faire semblant de dormir pour pas avoir à céder sa place à la petite mémé qui vient de monter et qui tient pas debout.
  • Payer pour quelquechose et voir la monnaie rendue à mon épouse (japonaise)
  • Quand on oublie que mon fils porte aussi mon nom.
  • L’enfant roi
  • Etre trop timide et ne pas avoir trop rencontré de japonais depuis que je suis ici.
  • Les udon, je peux plus, bwak.
  • Me dire qu’un jour faudra rentrer et que le temps file si vite !
  • Le manque de terrasses et le soleil qui tombe si vite.
  • La moutarde japonaise qui est à la moutarde ce que le Ketchup est à la sauce tomate (même remarque pour la mayo)

J’aimerais bien aussi…

  • Avoir encore des euros sur mon compte en banque.
  • Prendre le temps d’essayer de rejoindre le centre d’Osaka à pieds, aller rejoindre les montagnes de l’est en vélo.
  • Explorer d’autres quartiers moins centraux, retrouver des endroits où je peux me perdre.
  • Aller à la mer avec un bateau pneumatique.

A titre de comparaison : à 3 mois, à 6 mois, à 9 mois

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Un peu plus à l’est

Et c’est reparti pour une deuxième semaine de jolies vacances !

Pour ce second week-end de vacances, c’est la grosse fête : on part pour Tokyo35.673718139.697556 ! Depuis qu’on était arrivé en juin dernier, on n’avait pas encore eu l’occasion de s’y rendre, il faut dire aussi que le billet de train n’est pas donné-donné (dans les 13000 yens l’aller simple), et pourtant, j’aurais tendance à penser que j’apprécie vraiment plus Tokyo35.673718139.697556 qu’Osaka, au moins en touriste. Histoire de bien en profiter, on se lève aux aurores (enfin, tout est relatif), on attrape le métro pour Shinosaka34.733465135.500092 (310 yens) avec d’autres tombés du lit, et on arrive avec une belle avance à la gare JR. Le temps de prendre un café au Starbucks local, de voir un agent installer son stand de renseignement, le quai fini par s’afficher sur les panneaux, on a encore de l’avance.

Je ne reviendrai pas sur le confort d’un voyage en shinkansen, et 2h30 de traversée de campagnes plus tard, c’est une forêt de tours qui nous accueille à Tokyo35.673718139.697556.

Arrivés en gare de Tokyo35.673718139.697556, on emprunte la Yamanote, ligne qui encercle le grand Tokyo35.673718139.697556 pour quelques stations, et on descend à Ueno. La course fait partie du billet de Shinkansen, si j’avais su on aurait fait le tour complet de la ville :). On poursuit pour sortir 2 stations plus au nord (160 yens), à Minowa35.729513139.791412, où se trouvait notre hôtel. L’hôtel m’avait été recommandé par Thomas, pas trop cher, dans les 8000 yens la chambre, et sur le concept de ryokan de designer. L’ambiance fait un peu penser à une auberge de jeunesse, on est accueilli par Tomomi (?) qui parle français.

On dépose les sacs, Tomomi nous lance un « à plus », et on se dépêche de filer comme le suggérait l’excellent guide « Tokyo Itinéraires » au Starbucks de Shibuya35.659597139.702392 prendre un peu le pouls de la ville (autour de 300 yens un café lait-caramel).

On a pris une carte de métro pour la journée, la moins chère. Il existe en fait 3 cartes entre 700 (métro seulement), 1000 (métro et lignes privées) et 1500 yens (métro, lignes privées et JR). Et c’est pas évident de s’y retrouver au début entre ces trois types de lignes (métro, toei et JR) d’autant qu’elles sont visiblement très complémentaires et que pour aller d’un point à un autre, il est souvent nécessaire d’emprunter plusieurs de ces compagnies, multipliant le prix d’autant, ou de beaucoup marcher.

A Shibuya35.659597139.702392, on tourne un peu pour trouver de quoi manger, on n’a certainement que l’embarras du choix, mais on ne trouve pas grand chose. On fini par acheter des bento « healthy » qu’on mange au pied d’une tour du coin, presque isolés de la ville et de toute l’agitation de ce quartier. Le spectacle offert depuis le premier étage du Starbucks est intéressant, l’inverse semble l’être aussi, quelques garçons très agités semblent se donner les tuyaux pour regarder sous les jupes des filles assises en haut.

Et puis, on se dirige vers le parc du palais impérial qu’on contourne presque entièrement avant de s’engouffrer à nouveau dans le métro. Juste avant, on croise un corbeau sur son arbre perché, qui nous regarde passer plein de hargne « Quoi !? quoi ?! »…

Il était l’heure pour nous de retrouver le petit et mon épouse, timing parfait, on arrive à la gare JR de Tokyo35.673718139.697556 au moment même où leur train entre en gare. Echanges de coups de fils, on se retrouve où ?

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Mon quartier, du côté indus’

Mon quartier (Suminoekôen) se situe en banlieue sud d’Osaka, il se compose d’un grand nombre de tours d’habitations, de petites maisons individuelles, de nombreux jardins publics, mais aussi de tout un tas de petites industries.

Et c’est quelque chose qu’on repère à l’odeur, régulièrement, ça sent la soudure à l’arc, et en remontant quelques centaines de mètres plus au nord, c’est le bois qu’on travaille. Si personnellement je préfère l’odeur de la sciure de bois à celle du métal soudé, aucune des deux ne me dérange vraiment, ça forme en fait l’empreinte olfactive du quartier. Si bien que, comme ça arrive de temps en temps, ces odeurs laissent place à l’odeur de la mer, on en est un peu surpris (agréablement bien sûr). La mer dans le quartier, on sait qu’elle est au bout, là bas, on la devine mais on ne la voit jamais.

Petite promenade en photos sous l’angle industriel dans ce petit quartier périphérique d’Osaka…

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Kyoto jour et nuit

Voilà des semaines que je ne vois plus trop le jour, que je profite quand même bien de mes week-end, mais que les photos prises s’entassent sans que j’aie le temps de vous les préparer. J’ai dans mes cartons des photos de Fushimi Inarai à Kyoto34.986796135.758678 et ses portes en enfilade, des photos d’un jardin du quartier découvert récemment, des photos (et même des vidéos) d’un inter-classe avec le petit, des photos et vidéos prises entre Nishiumeda et Umeda34.7025135.49793 en faisant la grande boucle par Higashiumeda, des photos du zoo de Tennoji34.646625135.513095 à Osaka, des photos du Osaka Motor Show, des photos que je finis même par oublier les avoir prises… J’ai aussi une série de billets, presque prêts d’une promenade en Chinchin densha entre Sumiyoshi34.613312135.486767 et Tennoji34.646625135.513095… Mais de temps je n’ai pas*…

Seulement voilà, Thomas me lance une perche que je ne peux que saisir ; samedi dernier, on a passé la journée dans le froid de Kyoto34.986796135.758678, sous un ciel légèrement nuageux du meilleur effet. L’après midi dans un temple dont j’ai déjà oublié le nom (il y en a tant aussi), le soir dans quelques quartiers où les noms des geisha s’affichent sur de petites plaquettes de bois à l’entrée des maisons et où les momiji rougeoyants sont éclairés pour des nocturnes très colorées. Voici donc le début d’une promenade silencieuse (car sans trop de commentaires) dans Kyoto34.986796135.758678, en quelques billets qui nous mèneront du jour à la nuit.

* Et notez au passage que c’est toujours dans ces moments de speed que vos beignets de poulpe explosent dans le micro-onde, vous obligeant à une heure de nettoyage non prévue au planning, si je n’ai pas pu plus publier sur mon blog récemment c’est de sa faute. na.

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