31ogDay

C’est aujourd’hui le 310gDay ; si je n’avais pas trouvé astucieux le fait de trouver dans la date du jour une écriture de Blog, ou dans l’écriture de Blog la date du jour, je n’aurais peut-être pas décidé d’en être. Comme quoi, ça tient parfois à vraiment peu de chose… Et puis, c’est quand même une occasion sympa de mettre en avant quelques blogs qui comptent pour moi, et qui ne sont pas nécessairement dans mes thématiques habituelles.

Urbanbike

Sans aller jusqu’à dire que mon blog ne serait pas ce qu’il est sans ce billet de Jean-Christophe Courte, il est malgré tout des évènements qui comptent dans la vie d’un tel projet ; et quand je suis tombé sur ce billet qui parlait de mon blog en des termes qui traduisaient si concrètement mes intentions, ça a quand même influé sur la manière dont je regardais mon propre blog, et m’a donné plus que jamais envie de continuer. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien si mon photobook reprend ce billet en témoignage.

Urbanbike est un blog collaboratif tenu par plusieurs travailleurs en réseau, comme moi, qui parle de mille choses, parmi elles, des façons alternatives de travailler, de photographie, de technologie, de livres, c’est toujours extrêmement intéressant. En cadeau, chaque lundi, on peut y lire une page du livre « Comment travailler chez soi« , et ce livre que j’ai fini par acheter est une mine que je conseillerai à qui tente l’aventure du travail à domicile, combien de fois me suis-je reconnu dans ces petits travers si bien décrits ici, à commencer par… l’appel du frigo !

urbanbike.com

Aïe ! tech

Voici encore un blog dont je dévore chaque billet. L’auteur, Pierre Vandeginste, est journaliste scientifique, et ça se sent dans les billets, c’est toujours impeccablement documenté, extrêmement bien présenté, les enjeux sont clairs et clairement exposés. Et ce que j’apprécie plus que tout sur ce blog c’est le choix de sujets ; ici pas de techno tape à l’oeil qui provoque des « chouette », des « génial ce truc », des « t’as vu ? génial l’iphone », les sujets traités n’oublient jamais qu’une nouvelle techno ne va pas toujours dans le sens d’un progrès, et qu’il faut aussi faire jouer son sens critique avant d’accepter les yeux fermés ce qu’on veut nous voir consommer ou utiliser au quotidien… son passeport, par exemple, qui aurait cru !

aietech.com

LeLab

LeLab était un webzine tenu par des amis designer qui faisait à l’époque où le mot blog n’était pas encore sur toutes les lèvres, la revue de ce qui se passait d’intéressant sur le web en terme de design. LeLab propose également des issue, irrégulomadaires, quand un des gars de la fine équipe ou des lecteurs a des choses à présenter d’intéressantes. LeLab a rouvert récemment, après une période hibernative, sur un format blog : LeLab report

LeLab.net

Fenêtre sur Cour

Le rédacteur de ce blog se trouve être un lecteur du mien, toujours parmi les premiers à laisser des commentaires à mes billets, et qui tient un blog sur ses coups de coeur, ses centres d’intérêts et ses trouvailles sur le web. Romain fait partie de ces technophiles qui arrivent à dégotter la bonne info toujours dans les tous premiers, en plus c’est agréable à lire et ce monsieur fait aussi de très jolies photos.

fenetre-sur-cour.org

Djoh en Inde

Et je vous ai gardé le meilleur pour la fin. C’est un gros coup de coeur très très récent. Je suis tombé sur ce blog en milieu de semaine seulement, mais des blogs qui donnent envie de remonter les archives jusqu’au premier billet, on n’en trouve pas si souvent ; faut dire, un gars qui se fait courser par une chaussette, c’est pas si commun non plus… Djoh est étudiant de l’ESEO d’Angers* et tient son blog depuis mai 2006. On y trouve, mais je n’ai pu lire qu’en biais actuellement, des préparatifs de départ qui ne sont pas sans me rappeler un petit quelque chose (en plus presque en même temps), des attaques de moustiques, des algos pour calculer l’heure indienne, des dilemmes sur ce qu’on écrit et sur la réalité des choses, des 47 degrés à l’ombre, des prix convertis en euro, des comparaisons entre les systèmes d’enseignement français et indien, un tas de choses que je ne me lasse pas de découvrir sur un pays que je ne connais pas. Et puis, il y a le début des photos, et c’est… wow, et celle là, et , là encore, la fête des couleurs, et si ça vous donne pas envie ça par exemple, et là, moi je craque. Et surtout, il y a la gare de Jodhpur, sous la pluie (et là je vous montre sa photo ici sur mon blog).

djoh.net/blog

* L’ESEO qui n’est pas sans m’évoquer quelques souvenirs d’absences de souvenir de soirées estudiantines…

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Iciii, à Nagaaïkôen…

… Il fait chaud !

Nagai Stadium, si vous suivez les championats d’athlétisme, ça vous dit sans doute quelque chose, c’est ici que se déroulent les épreuves. Il se trouve que c’est à proximité de la maison, à une vingtaine de minutes de vélo, juste au Nord de Abiko34.599527135.510150, si vous vous souvenez bien, on y était allé en début d’année.

J’y suis passé hier soir, pour voir un peu à quoi ressemblaient les abords d’une manifestation sportive internationale. Vous connaissiez peut-être le stade, je vous propose ici ses environs proches, de nuit (enfin, de nuit, à 20h)

Tout d’abord, le quartier. C’est en fait un petit quartier de banlieue, qui ressemble beaucoup au mien, avec ses pachinko, restaurants, et hôtels dès la sortie de la station de métro. Des tas de taxis aussi. Comme partout. Beaucoup de lumières qui clignotent, sur 100m seulement, après, le tissus urbain n’est plus fait que de petites baraques et de tours d’habitations. La banlieue.

Et puis il y a ce parc, Nagaikôen34.61137135.52033, avec son stade au milieu. De jour, ce n’est pas partout très engageant ; comme beaucoup de parcs à Osaka, on y trouve de grandes étendues de terre battue, sans un arbre au centre, on pourrait penser à un no man’s land en plein été, mais les gamins y sont malgré tout nombreux à faire les cons en plein cagnard. Le soir, les grillons font le boulot des cigales, mais en plus timide. Cigales qui de toutes façon même le jour ne sont maintenant plus trop de la partie, après quelques semaines à tomber comme des mouches, il n’y en a plus beaucoup à chanter par chez nous. Le parc est assez grand, c’est peut-être ce qui lui vaut son nom de « Parc où on reste longtemps » (qu’on me corrige si ma traduction est mauvaise : 長居公園).

Sans ticket, impossible de s’approcher de trop près des installations. Par contre, sur une petite (très petite) place encadrée de boutiques et de stands publicitaires on trouve des tables, des chaises, même des parasols, et un écran géant qui retransmet en direct les épreuves pour les désargentés qui veulent malgré tout participer à l’évènement. Pas vraiment la foule cependant. On y trouve de quoi manger et boire, des furankufuruto (des saucisses de francfort), du poulet frit, des glaces, un peu de tout, et l’ambiance est à la japonaise, très participative, les voix s’élèvent d’un bloc quand un athlète vient de passer la barre au saut en hauteur. Ooooooh !

C’est donc ça une manifestation internationale… il y avait infiniment plus d’ambiance et de monde aux abords des matsuri confidentiels de cet été.

Et sur le chemin il y a ce passage à niveau, connu pour être perpétuellement fermé. Ce n’est pas une légende, le temps de prendre les photos, il ne s’ouvrait qu’épisodiquement, parfois pour se refermer aussitôt ouvert.

Et j’ai du m’y prendre à de nombreuses reprises pour attraper cette photo des rails… le temps de me rendre au milieu de la voie, poser l’appareil, tenter un cadrage, déjà les sirènes retentissaient : KlonKlonKlonKlonKlong.

Blogger n’est pas toujours sans danger ! 🙂

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Mousses VIP

Après le Fushimi Inari34.967205135.772846 Jinjya, le convoi a pris la direction du palais d’argent, un peu plus au Nord. Le palais d’argent, c’est Ginkakuji35.026605135.798064, et il est préférable de ne pas le confondre avec le Kinkakuji35.039536135.728423, palais d’or et qui se situe de l’autre côté de la ville, tout à l’ouest. Là encore, aux abords du temple fleurissent les boutiques de souvenirs, cadeaux et glaces.

J’apprécie tout particulièrement ce temple pour son jardin de mousses magnifique. J’y étais allé une première fois au printemps et quelle que soit la saison, un jardin de mousse reste finalement assez identique à lui même. Et même au sommet d’un des été les plus chaud qu’ait connu le Japon, déambuler au milieu de ces tâches de lumières sur des mousses vert tendre apporte beaucoup de fraîcheur.

A l’entrée du temple, après avoir dépassé les constructions de sable blanc du jardin zen, sont exposées sur une table les mousses rares que compte le jardin. Mousses VIP, c’est écrit dessus.

Au passage, quelques photos du lieux sont à admirer sur le portfolio de fenêtre-sur-cour.

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Traîner des pieds

Ca tirerait pas un peu sur la fin tes vacances de mai Ghismo ? Un peu, si ?

Après trois denses journées passées à Tokyo35.673718139.697556, on a repris le chemin d’Osaka, de nouveau en Shinkansen, et cette fois ci, tous ensemble, le petit, mon épouse, notre invitée et moi même. Le matin nous n’avions pas encore les billets (13000 yens environ), que nous avons acheté, comme à Osaka, dans un comptoir de billets « d’occasion » à prix réduits de Ueno.

Le temps de faire tout ça, avec poussette, petit, et aussi pas trop l’envie d’aller trop vite sur le retour, ce n’est qu’en milieu d’après midi qu’on a remis les pieds à la maison.

Ce qui nous a laissé le temps de faire une petite promenade à pieds dans le quartier, longer la Yamatogawa, trouver le petit temple de la fête de l’été, avant que ce ne soit l’été, et continuer vers l’inconnu, à l’est, trouver un shôtengai, l’emprunter, ressortir à l’autre bout, y trouver les rails du chinchin densha, s’approcher d’un arbre qui a une odeur citronnée, demander à l’obasan, qui nous regarde faire en s’inquiétant si elle connait le nom de l’arbre, nous l’apprend, on l’oublie aussitôt, et on referme la boucle pour rentrer à la maison, au soleil couchant.

Dans ces endroits, les gamins arrêtent leurs vélos, oublient leurs ballons qui prennent une trajectoire libre, les oyaji vous suivent du regard sur 180 degrés, un gaijin ici, c’est tellement inattendu que ça leur fait leur journée.

Journée à 13000 yens de train, et environ 3000 yens en dépenses courantes (café, ekiben, restaurant coréen le soir)

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Jyûmbann !

Jyûmbann, ça se prononce un peu « djyouhoummbannn » (avec une sorte d’explosion sur le ba, en faisant durer le ouhou les mm et les nnn) et ça signifie quelque chose comme : « dans l’ordre« , « chacun son tour« , « chaque chose en son temps » ; ce soir en rentrant de la crèche avec le petit, je lui demandais :

– Alors, et qu’est-ce qu’on va faire en rentrant à la maison ? On va prendre un p’tit goûter ?
– Eetôô, Ampandi, miru kara… Jyûmbann ! Jyûmbann ! Ampandi miru. Jyûmbann ! Wakatta ?
(euh… après avoir vu Andy Pandy… Jyûmbann ! Jyûmbann ! On regarde Andy Pandy. Jyûmbann ! T’as compris ?)

Au moins, je sais ce qu’on lui rabâche à la crèche, maintenant… Jyûmbann ! Wakatta ?

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Enfoncer les portes

Des amis nantais nous rendaient dernièrement une petite visite. Hier, ils se promenaient à Nara34.683793135.835669, mais dimanche dernier on les a accompagné à Kyoto34.986796135.758678. L’occasion pour moi de visiter un temple très célèbre et pourtant encore inconnu à mes yeux (mais il y a tant de chose que je n’ai pas vu, ici, là bas ou ailleurs…).

Le Fushimi Inari34.967205135.772846 Jinjya a pour particularité d’offrir un parcours de près de deux heures sous une enfilade infinie de toorii (portes). On n’avait pas ce temps là devant nous, alors on n’a fait qu’un petit tour, aucun doute que j’y retournerai prochainement, plus longuement.

On y arrive en prenant une petite ligne JR, à deux stations de la gare centrale de Kyoto34.986796135.758678. C’est assez rapide et la gare de Inari est assez mignonne et donne l’impression un peu d’être arrivé dans un petit village de campagne, impression qui tranche avec la modernité et l’agitation de celle de Kyoto34.986796135.758678. Le temple fait face au combini qui jouxte la gare. Les marchands donnent ici presque dans la cour du temple, dans une ruelle qui borde la cour ; en plus des traditionnels porte clés, crayons, appareils photos stéréoscopiques, on peut y acheter des toorii plus ou moins miniature pour décorer son salon ou en faire don aux dieux (et à ses employés, qui eux, ont quelques dépenses).

Et puis, après avoir gravi quelques marches, on s’enfonce sous les portes qui parcourent la forêt. L’ambiance est relaxante, et l’oeil est flatté de ces jeux d’ombre et de lumière vacillant sur le rouge des portes. Un embranchement arrive, impliquant un choix, monterons nous par la gauche ou par la droite ?

Cela ne fait finalement pas de différence, les deux chemins se retrouvent au même endroit un peu plus haut, dans une cour avec un nouveau petit temple, une fontaine pour se purifier, quelques plaquettes votives sur lesquelles sont dessinées des visages, les portes vendues un peu plus bas, et une pierre, qui accomplit les souhaits, si elle parait plus légère qu’on ne la pensait lorsqu’on la soulève.

Elle est très lourde.

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Tokyo Nobody

Ca faisait très longtemps que je voulais m’acheter ce livre de photo de l’artiste japonais Masataka Nakano.

Tokyo Nobody, c’est le résultat de 10 années de patience pendant lesquelles l’artiste a photographié Tokyo35.673718139.697556, à des moments où les rues ne laissaient apparaître aucune présence humaine. Et Tokyo35.673718139.697556 déserté, ça laisse une drôle d’impression, parfois dérangeante, l’oeil cherche les hommes, on ne se fait pas si facilement à l’idée qu’il ne puisse y avoir personne. On croit souvent pouvoir prendre en faute l’artiste, on a l’illusion d’une présence, qui se révèle finalement être toujours autre chose, un poteau, un sac, un arbuste… C’est vraiment un magnifique travail argentique, garanti sans trucage, sans pinceau à cloner, sans superpositions d’images ni collage, fait à force d’attentes. Incroyable, au sens premier du terme.

Et pour qui pour quoi, la semaine dernière m’est revenu à l’esprit l’existence de ce livre, et avec elle, l’envie irrépressible de me le procurer. Ca vous intéresse aussi ?

Edit du 26/08 : Et ceux que vous trouverez sur ma boutique sont dédicacés de l’auteur.

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Regarder tomber la nuit

Eh, et ces vacances qu’on en voudrait d’autres des comme ça ? Ca continue encore ? Oui !?

Lors de mon premier voyage au Japon, j’avais passé beaucoup de temps à Shinjuku35.690903139.700260, j’y passais systématiquement pour sortir ou rentrer de mon point de chute tokyoite, et j’avais fini par presque apprivoiser cette gare tentaculaire, j’arrivais à peu près à m’y retrouver depuis l’intérieur pour me retrouver à l’extérieur (facile) et à la sortie espérée (moins facile).

Et ce sont des choses qui ne reviennent pas vraiment tout de suite. On est sorti un peu au hasard, et il m’a fallu un bon moment pour remettre les éléments ensemble. Par chance, on n’était pas trop mal parti, et très vite, la mairie se profilait au bout d’une rue. A partir de là tout s’est petit à petit réarticulé.

Les alentours de la mairie d’abord, puis les petites ruelles à Yakitori, sur des petits barbecue à charbon, incroyablement appétissant, mais en même temps un peu impressionnant quand on n’est pas soi même japonais, on ne se sent pas vraiment invité (mais la prochaine fois, tant pis, je m’y risquerai), et puis, le Donkihote labyrinthique, et les néons encore éteints.

Décider alors d’attendre la tombée de la nuit pour les regarder s’allumer. Prendre deux cafés (dans les 400 yens) dans une boutique de fringues, et ressortir au moment où tout s’énerve encore un peu plus, naviguer au hasard dans les ruelles chaudes de Shinjuku35.690903139.700260, laisser là où elles sont les voitures à vitres fumées, passer à côté des rabatteurs qui ne rabattent que les locaux, regarder les filles et se laisser submerger par les flux lumineux.

Shibuya n’est qu’à quelques stations en JR, en métro par contre, c’est plus compliqué, on fait une entorse à notre carte de métro de la journée (moins de 200 yens), pour y manger au Mos Burger, environ 500 yens (on peut faire mieux sans doutes, des conseils ?), chercher ensuite les shibuyettes, qui d’après l’ami vu à Yokohama35.453792139.632330 squattent les lieux en ce moment sur des peaux de bêtes, dans une ambiance cromagnonesque, sans succès. Où sont-elles ?

Sur le chemin du retour, faire à nouveau une halte à Akihabara35.698501139.772958, espérant y trouver le soir plus d’activité qu’au petit matin. Pas de chance, on arrive cette fois ci trop tard, hormis les grandes enseignes, tout est fermé, encore.

Pour faire durer un peu le plaisir d’être à Tokyo35.673718139.697556, après être rentrés à l’hôtel, on est ressorti pour chercher à se perdre alentours, faisant une pause comme la veille dans un troquet du coin, y prendre un affogato et une Guinness pression (environ 500 yens), duo assez déconcertant, et alors ?…

Et alors, journée à 8000 yens d’hôtel, et 4800 yens en dépenses courantes.

Pour ceux que ça intéresse, la carte du matin, celle de l’après midi, et de la journée

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Night and Day

Accompagné de Kapoue (rendez lui une petite visite, ses photos sont magnifiques), en vacances avec un ami dans la région actuellement, je me suis rendu avant-hier soir au Mantoro de Nara34.683793135.835669, et hier visiter quelques temples de Kyoto34.986796135.758678.

Mantoro est un festival qui se tient de nuit et qui permet de se promener dans les parcs de Nara34.683793135.835669, éclairé par d’innombrables bougies posées souvent à même le sol. A chaque fois que je l’ai pu je m’y suis déplacé, c’est un moment agréable à passer à Nara34.683793135.835669.

A Kyoto34.986796135.758678, nous sommes d’abord allés voir le temple d’Or, Kinkakuji35.039536135.728423, sous un ciel de plomb, moi en jean’s, ce qui n’a pas manqué d’inquiéter mes compagnons de balade 🙂

Et puis, Ryoanji, temple célèbre pour son jardin zen, juste à temps avant la fermeture, mais sans non plus se sentir tellement pressé, on parcours tranquillement les lieux avant de rentrer en contournant le lac.

En déambulant dans le quartier, on a également eu la chance de tomber sur cette antiquité bleue turquoise, un peu défraîchie, sympa quand même.

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My Taylor is Rich

Petit message à caractère informatif. Je recherche quelqu’un de bilingue français-anglais (US) pour traduire le descriptif des 16 articles que compte ma boutique. J’ai bien dit quelqu’un de bilingue, des bricolos en anglais, bon… moi aussi je sais bricoler dans la langue de Shakespeare et de l’Oncle Sam 🙂

Je suis ichiban bimbo (le plus fauché des fauchés) aussi je ne peux pas vous donner d’argent, mais je peux vous dédommager d’un photobook « Japon ! », par exemple.

Si vous êtes intéressés (et dès que le serveur s’est reveillé)

Edit du lendemain : c’est bon, c’est bon, merci 🙂

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