Couleurs d’automne à Kiyomizudera

Aujourd’hui, il pleut.

Hier, j’aidais un des amis français de mon épouse à déménager. Ce qu’il y a de bien avec les déménagements d’expatriés, c’est que c’est assez vite vu, 5-6 cartons, 2 sacs, un futon, trois fois rien d’électroménager, en 3h c’était bouclé, nous laissant le temps d’aller manger des Ramen avec le très expressif beau-père japonais d’Alex. Qui nous demandait en désignant la serveuse venue prendre la commande « Alors, elles sont pas mignonnes nos femmes japonaises ?!… ». Et nous d’acquiescer gêné. En l’occurrence, c’était très vrai.

Samedi nous sommes finalement allés à Kyoto34.986796135.758678, plus précisément au Temple Kiyomizudera34.994742135.785039 (temple de l’eau pure), pour voir si l’automne était arrivé là bas. C’est encore un peu tôt. Un peu de rouge, du jaune, et encore beaucoup de vert sombre, le tout sur fond de ciel blanc, pas facile pour les photos qui sont tout de suite sur ou sous exposées, un jour faudrait que j’achète un guide « la photo pour les nuls » pour comprendre un peu le mode manuel de mon appareil…

Et puis à la gare, il y avait une petite fête avec une cérémonie du thé, le décor manquait cruellement de charme, l’ambiance manquait beaucoup de sérénité, devant des cabanes en bâches plastiques, en plein passage, arrosés par les mégaphones.

Et on a déjà prévu une nouvelle session à Kyoto34.986796135.758678 pour une nocturne, début décembre, si tout se passe bien.

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Et, grand comment ?

C’est un commentaire de jess qui m’a donné l’idée de faire ce post. Ce qui est amusant, c’est que depuis que je suis ici, j’essaye de me représenter la ville, pour savoir ce qui est faisable à pieds, ce qui l’est moins, etc… Alors dans Google Earth, je traçais des lignes : « tiens, de chez moi aux montagnes, en suivant la Yamatogawa (la rivière qui coule pas très loin d’ici), c’est un coup de 17 km, on peut le faire à vélo… ».

Mais je n’avais jamais pensé à mettre Nantes dans Osaka pour voir comment ça loge. C’est chose faite aujourd’hui, et je remercie Jess pour cette très bonne idée. Alors ça donne, dans l’ordre des clichés (et merci aussi à Google Maps pour ses vues du ciel) : Vue satellite de Nantes puis de Osaka (à un niveau de zoom identique bien sûr), puis vue de Nantes puis de Osaka en couleurs, pour finir avec une superposition des deux fonds de cartes.

Pas trop de surprises, Osaka est plus grand que Nantes (et que Paris aussi), je le savais. Je dois tout de même apporter quelques précisions sur comment j’ai tracé mes zones.

Pour Nantes, j’ai considéré que l’agglomération était comprise dans les zones habitées à l’intérieur du périphérique. Pour tracer la ville, j’y suis allé un peu au pif, et essayant de représenter la seconde couronne de la ville, et le centre ville, bah c’est là où ça bouge un peu quand ça bouge. Le centre ville de Nantes qui se parcours à pieds (d’un pas décidé) de bout en bout en 30 minutes.

30 minutes, c’est ce qu’il faut pour rejoindre à pieds deux stations de métro dans le centre de Osaka.

Pour Osaka, j’ai pris pour l’agglomération les villes attenantes de Kobe34.691380135.195693, Kyoto34.986796135.758678, Nara34.683793135.835669, Sakai34.535771135.467846, parce que pour passer de l’une à l’autre de ces villes, on ne quitte jamais vraiment le tissus urbain (un peu comme pour aller de Nantes à Carquefou, il y a parfois des espaces dans le paysage, mais ça se tient plutôt). Pour la ville, j’ai essayé de ne prendre que Osaka, sans trop déborder sur Kobe34.691380135.195693 ni Sakai34.535771135.467846, La séparation avec Nara34.683793135.835669 se fait naturellement par la montagne, et avec Kyoto34.986796135.758678 c’est un peu plus flou. Pour le centre, j’ai pris ce qui était à l’intérieur de la ligne circulaire JR de Osaka, ça loge les quartiers de Tennoji34.646625135.513095, Namba34.663463135.501959, Umeda34.7025135.49793, Yodoyabashi34.693003135.500950, les alentours du Château Osakajo34.687251135.525670 qui sont les coeurs de la ville (si vous en voyez d’autres que j’aurais oublié, faites un signe).

Ces cartes sont toutes approximatives, et sont basée sur une perception subjective des densités, mais je pense qu’elles donnent une idée des grandeurs. On y constate en particulier que le centre de Osaka peut contenir toute la ville de Nantes, et que la ville de Osaka (qui est composé d’un tissus urbain déjà bien plus dense que le centre de Nantes) englobe largement l’agglomération Nantaise.

Et je vous prépare le même comparatif entre Tokyo35.673718139.697556 et Paris, puis ces quatre villes toutes ensembles.

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Densha matsuri

On avait décidé ce week-end de partir à Kyoto34.986796135.758678 visiter un temple, et d’aller faire un tour à la fête des trains qui se tient dans les quartiers pour le week-end, à proximité du circuit de kyôtei.

Cette nuit c’était ambiance orage torrentiel. Ceux qui ont passé la nuit dehors pour être les premiers à posséder une PS3 n’ont pas du être déçu.

Ce matin, il pleut, la météo nous le confirme à 60%. Demain, la météo est plus incertaine et nous annonce à 20% de la pluie. Alors, changement de programme, on ira plutôt demain à Kyoto34.986796135.758678.

Et la fête des trains, c’est un peu comme la fête des bus. On y croise les mêmes otaku des transports en commun, ainsi que sensiblement les mêmes animations : trains anciens qui exhibent fièrement leur numéro de service et dans lesquels on prend place, photo avec la casquette du chauffeur, stand pitapa et mascotte pitapon, modèles réduits, on a même retrouvé la star du bwoufffa matsuri ici.

Et c’est le petit qui était content !

Ce qui m’a particulièrement plu était le site, endroit industriel, où les trains viennent se faire réviser. Ici, des bâtiments en acier rouillé, là des tunnels de réparation, le sol est parcouru de rails, et des trains sont à l’arrêt ici en attendant de les renvoyer transporter leurs voyageurs.

Il y a aussi le musée. Un hangar dans lequel on peut admirer de vieux tramway d’Osaka. Où on apprend d’ailleurs que les tramways d’Hiroshima sont en fait d’anciens tramways d’Osaka ayant pris leur retraite dans les années 70.

Et aux infos de ce soir, on ne nous annonce pas une météo exceptionnelle pour demain non plus… Kyoto34.986796135.758678, ça sera probablement pour une autre fois.

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Des tours et détours

J’essaye de changer de route un peu tous les jours en rentrant de la crèche. Déjà, ça me permet petit à petit d’en savoir un peu plus sur le quartier. Ca permet aussi de ne pas trop laisser s’installer la routine du quotidien.

Oh! Pas souvent de gros détour, parfois je change juste d’une parallèle, parfois aussi je pars à l’opposé pour quelques minutes, et parfois je pique à l’est. Il m’est arrivé aussi de planifier un chemin en le regardant du ciel sur google earth. Mais la plupart du temps c’est assez improvisé.

Aujourd’hui alors qu’à la tv on nous annonce un front nuageux qui vient de l’ouest, chargé de pluie et d’électricité, je me suis donné un peu de temps pour partir à l’est direction sumiyoshitaisha. Ce soir, je sais que je baisserai probablement les yeux en rentrant avec le petit. Alors j’ai pris un peu de plaisir par anticipation.

J’aime beaucoup ce quartier constitué de petites baraques vieillissantes, ce n’est pas la première fois que j’en parle (surement pas la dernière non plus, j’ai en stock des photos pour l’hiver). On est souvent surpris ici par tout un tas de petits détails, de la signalétique, de la verdure florissante, des décorations impromptues. J’y ai même croisé aujourd’hui un canard en cage, à l’entrée d’une petite bicoque.

Et puis, il y a le tramway aussi qui porte ici le nom de chinchindensha, ce qui fait bien rigoler les enfants, on s’en doûte (tchintchin, en France c’est pour trinquer, au Japon, ça se traduit par zizi).

Et puis, il y a un passage commerçant couvert (shôtengai). C’est quelque chose de très courant au Japon ce genre de passage. Sur plusieurs centaines de mètres (parfois plusieurs kilomètres), dans une rue commerçante, les deux côtés de la rue sont reliés par un toit. Une sorte d’éco-système (éco au sens économique) très particulier, où les boutiques proposent tout ce que le Japon produit d’original, de la nourriture, de l’artisanat, quelques cafés pour obasan, le tout dans une enfilade sans fin, où les sons ont une résonnance particulière et où la vue et l’odorat sont flattés par tant de nouveautés. Celui ci est très sympa, et il présente même quelques bifurcations qui lui donnent un petit côté labyrinthique.

Il y a le temple aussi, et visiblement il devait y avoir hier un matsuri ici, quelques yatai attendaient d’être démontés. Une obasan priait au pied de chacun des arbres portant les couleurs de l’automne. Clap, clap, deux claquements de mains, et on voyait très clairement à son expression, que les feuilles qui tombaient sur elle à ce même moment était porteuses d’un présage heureux.

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Sur le chemin du retour

Suite et fin de la petite série consacrée à notre week-end à la campagne.

Le lendemain matin, après avoir été réveillé une fois dans la nuit par le petit qui tapait sur la porte, il y avait comme attendu de la buée plein la vitre, et nos affaires étaient froides et imbibées d’humidité (j’adore).

On rentre sur Osaka en début d’après midi, et j’aimerai, avant de quitter la campagne, revoir le Temple (magnifique temple) Taikodani Inari Jinja de Tsuwano34.479392131.759033, perché à flanc de montagne et accessible par une ascension qui nous fait passer par plus d’un millier de portes rouge vermillon. On n’aura pas le temps d’y monter à pieds, aussi c’est en 4×4 Terrano Nissan qu’on s’y dirige. C’est la première fois que j’en vois le parking, et petite surprise, le parking bétonné du temple se situe en partie sous ce dernier et donne à l’édifice vu de ce côté un aspect un peu « supermarché ».

Visite éclair, on va dire un petit bonjour aux renards du fond, on prend quelques photos, et on passe à la caisse avec un Omikuji chacun. Le petit a un beau Daikichi, et nous, nous avons chacun un Shyukichi.

Puis nous descendons dans le village, où je voulais me rendre au Musée Anno. On se gare à l’entrée du village, et après avoir cherché le petit, parti on ne sait où voir les carpes (innombrables ici) avec la tante, on parcourt rapidement les rues en direction du musée. Le festival de la veille se poursuit, il y a toujours des représentations de Kagura, et aujourd’hui, la restauration gratuite a fait place aux traditionnels Yatai payants.

Anno est un artiste issu de ce village. Il a en particulier travaillé avec une technique traditionnelle japonaise (enseignée à l’école primaire) : le Kirie. Il s’agit de dessins, réalisés en découpe dans une feuille de papier (à la manière dont on ferait un pochoir). Et Anno (1927~) a illustré des contes et légendes japonaises de cette façon. Des livres ont été publiés à partir de cette série, et j’en achète un à chacune de mes venues à Tsuwano34.479392131.759033. J’en suis donc à mon troisième livre, et il y en a au moins un autre que je n’ai pas encore.

Tout ça s’est fait à un rythme soutenu, et à peine entré dans le village, qu’on le quitte déjà direction Shiniwakuni34.171654132.225565. Jiji est tendu au volant, les lacets s’enfilent, et moi je bleuis. Même chemin qu’à l’aller, petit tour en Shinkansen, et nous voici finalement de retour dans nos foyers.

Et quand nous sommes arrivés, ça sentait la mer. Si elle est très proche de chez nous (moins d’un kilomètre à vol d’oiseau), on ne la devine jamais (pas plus qu’on n’a l’occasion de la voir), sauf ce soir avec cette odeur iodée qui traînait dans l’air.

Et voilà, de retour à la vraie vie.

Mise au vert

Ce week-end on voyage ! On part à Tsuwano34.479392131.759033, dans le Shimane-ken. Oui oui, en pleine cambrousse, là où y’a même pas d’internet haut débit. Incroyable.

Et on va rendre visite aux ookii baba et jiji ainsi que quelques ojisan et obasan du petit (de la famille quoi).

Ca représente quelques heures de trajet et on devrait y arriver à la nuit tombante. Pour y parvenir, moitié train, moitié voiture de location, et sans bagages, car au japon, comme on le faisait remarquer sur itadakimasu, on sait voyager sans ses 60kg de change pour trois jours, ceux çi sont partis par transporteurs en milieu de semaine.

Et j’ai aussi pour vous quelques photos de Tsuwano34.479392131.759033 de mes précédents voyages, ainsi qu’un petit article écrit pour l’association Atlantique-Japon. A mardi !

Tsuwano depuis le chemin qui mêne au temple dans la montagneOhanami à Tsuwano

Underground

Je finissais par croire que pour s’amuser au Japon, il n’y avait que Starbuck’s et Haagen Dasz Café. Et, grâce à une rencontre impromptue avec quelques musiciens belges, j’ai pu me rendre contre que je me trompais. Et comment ! Il existe donc, ici aussi, des endroits à la déco imprévisible et où se rencontrent des gens qui ont de l’épaisseur. Il suffit pour ça de descendre quelques marches.

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La récolte sera-t-elle bonne ?

Nous sommes allés ce week-end faire une petite visite en famille au cimetière. Celui çi se trouve à Nara34.683793135.835669, en rase campagne. Et à cette période de l’année, tout le long de la route, les champs de riz rayonnent d’éclats verts. La récolte est proche.

Et c’est la première fois que je voyais du riz pour de vrai, avant qu’il ne soit scrogneugné, et mis en sachet cuisson 10 minutes. La première fois aussi que je voyais ce genre d’araignée.

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Bwoufffa matsuri

Le petit appelle ça woufffa, bwoufffffa, bwoufff, et il s’applique. On a beau lui dire « bus » d’un côté, « basu » de l’autre, lui persiste en de longues expirations « wufffffffffa ».

Et c’est qu’il aime ça les bus, il suffit qu’il en croise un (et il n’en rate aucun) pour qu’on l’entende s’agiter : « woufff » en faisant de grands signes de la main au si beau véhicule.

Les wouffa pour le petit c’est la numéro trois de ses préoccupations (après Baba, et Jiji).

Alors quand se présente le festival des bus (basu matsuri), au pied du World Trade Center34.638292135.415291 d’Osaka, bien entendu qu’on y fait un tour. D’autant plus que les transports en commun, c’est une histoire de famille du côté de mon épouse, et que Jiji (Pépé) tient le stand onigiri et qu’ils en ont prévus 800.

Dommage, on n’a pas trouvé Jiji de l’après-midi. Trop de monde pour ça.

Et le basu matsuri, c’est tous les bus de la régions venus se faire admirer dans un même endroit. Tous les basu-otaku (sisi ça existe) sont là dès l’ouverture des portes, à se précipiter pour être les premier à admirer leurs idoles, allant glaner les docs à chaque stand, acheter des modèles réduits de leurs engins préférés, on peut même acheter au basu matsuri des poignées servant à s’accrocher quand on est debout, des vieilles plaques, des compteurs, des bouts de métal non identifiés…

Il y a aussi les petits trains pour les enfants, mais la file d’attente nous a tellement rebuté qu’on s’est abstenu.

Et il y a « la star », nonon, pas Madonna en concert à l’Osaka Dome à 50,000 yen la place du 8ème rang*, nonon, le bus milieu du siècle (d’avant), devant lequel on vient se faire prendre en photo, dans lequel on vient poser son posterieur et goûter au confort d’antan, au volant duquel, on peut même passer la casquette du chauffeur. (Mais tout de même quelle honte cette antenne Clarion sur un si vieux bus)… Cette année « la star » était accompagnée d’un choriste, qui, une fois la fête terminée est resté seul au milieu de ce grand espace déserté, en attendant qu’une dépanneuse le raccompagne au dépot.

Et bien entendu, il y a toujours une (sinon deux) mascotte grandeur réelle, ce qui permet aux enfants de se défouler en lui tapant dessus, en lui tirant sur la queue, en se riant du grand nez du gaijin qui prend des photos, etc etc 🙂 …

* Ca c’est pour mon référencement

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Japan Automobile Federation

La JAF, c’est l’ACO de l’est. Mon beau père a l’autocollant JAF sur sa vitre arrière droite. Mon père celui de l’ACO sur sa vitre arrière gauche. Et tout ça ne présente pas un intérêt phénoménal sauf à rappeler certaines coïncidences.

On peut voir au japon toutes sortes de voitures. Dans mon quartier, on peut voir par exemple une Rolls Royce, garée toujours au même endroit, sur le même parking, à Suminoekôen34.609952135.473860, les jours de courses de bateaux (Dramatic Kyôtei34.611647135.472154 dit la pub). Il parait que cette voiture, il n’est pas recommandée de la prendre en photo, que son propriétaire n’apprécierait peut-être pas, j’ai donc rangé sagement mon appareil, et ne pourrai vous la montrer pour cette fois.

J’ai aussi croisé deux Hummers, vous savez ces engins démesurés qui servent aux GI américains à aller porter leur message de paix un peu partout dans le monde (j’en ai vu un dernièrement du côté de Sumiyoshi34.613312135.486767kôen, un Hummer, pas un GI). Pour faire ses courses en ville, c’est le véhicule idéal, consommant peu, polluant à peine, facile à garer, discret, top. Ceux là non plus je ne les ai pas pris en photo. Pas très envie pour le coup.

Et puis, en me promenant samedi dernier du côté de Shinsaibashi34.675142135.501320, à quelques centaines de mètres de l’apple-store et du Sony-Tower34.675102135.501669 qui visiblement à été « démonté » (encore un coup de José Bové ? quelqu’un est au courant ?), j’ai trouvé cette mini publicitaire, modèle pick-up. Je savais que ça ferait un plaisir immense à un collègue, alors je l’ai photographié sous tous les angles ;). La présence de la bouteille sur la voiture en bride singulièrement les performances : il est écrit sur le tableau de bord 2,15m, 100km/h maxi… En plus d’être une mini assez sympa, en vous en approchant, vous pourrez probablement vous faire payer un coup à boire par une charmante hôtesse.


Et puis, en allant porter le petit à la crèche, dans le quartier de Kagaya34.616071135.480276, je vois assez souvent ce combi volkswagen, qui est en fait un Daihatsu Hijet Van maquillé. J’aime assez l’idée, ça vous fait « une sorte de » combi assez marrant, et plus petit que l’original, ce qui ici est une qualité, car il n’est pas rare de voir des garages à moitié ouverts pour laisser dépasser le capot de la voiture trop grande.

Mais tout ça ne remplacera pas ma regrettée twingo (bien que pour dire vrai, ici, une voiture ne me manque pas vraiment) !

Ghisméo-Localisation : La Géo-Localisation made in GhismoPS : les plus perspicaces d’entre-vous auront remarqués sans doute que je parle dans ce post de beaucoup de noms de lieux, et auront également cliqué sur le lien ghisméo-localisation.
Et si ce post sur les voitures n’était qu’un prétexte pour présenter une nouvelle fonctionnalité de ce blog ?…

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