Nara, Nara desu
Et c’est reparti pour une journée des vacances très chouettes
Au cinquième jour, le programme de ces petites vacances nous menait à Nara34.683793135.835669. Au départ de la maison, cela représente une petite heure de train et 270 plus 540 yens. Nara34.683793135.835669 bien connu pour ses (millions de) biches, d’ailleurs, j’avais bien briefé mon hôte : « sous aucun prétexte tu n’achètes de petit gâteaux pour les biches ».
Avant d’aller les saluer de pas trop près, c’est par Nara34.683793135.835669machi, la vieille ville que nous sommes allés. Je voulais voir si le fusuma que le petit avait transpercé à la dernière visite avait été réparé. Pas encore. Par contre, le descriptif des lieux en français qu’on m’avait fait corriger la dernière fois et que j’avais même pas lu est désormais sous plastique. Et cette fois ci, on nous a fait la démo de la porte d’entrée, qui comme celle des petits cochons peut s’ouvrir par moitié.
Juste à côté, on a également trouvé un temple très mignon et quelques magasins d’un autre temps, vendant du soba en grains et des azuki secs dans des bacs venus de la même époque que les murs. Sur la porte d’à côté, un poisson vaudou en gilet de houx conjure le mauvais sort. Depuis longtemps sûrement. Et ce n’est qu’en sortant de la vieille ville, qu’on est tombé sur ce Pooh-san terminator, objet kitchissime et animé, dans un magasin qui l’était non moins. A en avoir des frissons (de rire).
Et puis, Nara34.683793135.835669 a cela de bien que lorsqu’on entre dans les parcs qui entourent les temples, on quitte la ville pour un long moment. Contrairement à Kyoto34.986796135.758678, où la ville reprend ses droits dès la sortie du temple, ici la promenade est plus apaisée. Normalement.
On mange dans une petite boutique de soba située au milieu d’un parc, et que je connaissais pour y avoir mangé lors du Mantoro de l’été passé (si vous vous souvenez, c’est le petit resto tout en bazar avec son téléphone rose). Une biche yakuza s’est invité en cuisine, rançonne la mama, la menace de ne pas partir tant qu’elle n’aura pas mangé, supporte sans même les sentir les coups de bambous que lui assène la maitresse des lieux. Elle ne bougera pas le temps de notre repas, et probablement encore longtemps après.
Ici on mange pour 500 yens assis sur les tables. C’est paisible.
on voit jamais vos têtes ni celles de vos invités. jamais de visages ni de sourires Ca manque de coté humain… les temples, les gros plans sur des détails… c un peu répétitif.
et c’est un anonyme qui me dit ça 😉
Merci pour la visite, je le rajoute aux nombreux endroits à visiter pour le prochain voyage :)Manger pour 500 yen dans le calme et loin des bâtiments… alala ça c’est sympa.
Bien vue l’expression de la biche Yakuza :)J’ai acheté des gâteaux pour ces biches. Autant c’est marrant de photographier la situation : vingt biches qui prennent en otage le détenteur du sachet de gâteaux, autant c’est vite flippant de voir que de toute façon, que tu sois sur tes pieds ou au sol, elles te dépouilleront de tes gâteaux… Enfin bon, chouette souvenir quand même 🙂
Un vrai plaisir de se balader dans les rues de Naramachi. Et je continue à penser que tes photos sont toujours magnifiques, alors continue sur ta lancée!
pchan < merciromain < oui, une question qui me travaille beaucoup, serait de savoir pourquoi les biches ne prennent pas d'assaut les marchands de senbei plutôt que les touristes. S'il y a toujours des biches autours des marchnads, aucune ne s'en prend directement au stock… de là à imaginer qu'elle sont de connivence…lalain < oui, la photo est localisée suffisament précisément pour que tu puisses y retourner 🙂